Entre histoires vécues et anecdotes insolites, nos nageurs du team Arena vous font des confidences sur leur utilisation du bonnet de bain.
Mélanie Henique : Tout le monde connaît cette histoire… Juillet 2011, finale des Championnats du monde à Shanghai. J’ai nagé avec le bonnet siglé Jérémy (Stravius) et je suis montée sur le podium du 50m papillon avec… Depuis j’en porte toujours deux l’un sur l’autre, le sien et le mien. Cela peut paraître superstitieux, mais chacun a ses habitudes pendant les compétitions.
Jérémy Stravius : Cette fameuse histoire de bonnet de bain à Shanghai avec Mélanie (Henique). Elle a pris mon bonnet de bain lors de la finale du 50m papillon (avec mon nom) car elle se disait qu’il lui porterait chance… Une sorte de rituel qui se poursuit encore aujourd’hui. Par la suite, beaucoup de personnes ont cru que l’on était ensemble… Bien sûr…. que non !! Simplement des amis très proches.
Charlotte Bonnet : Quand j’étais petite, vers mes 10 ans, j’ai craqué mon bonnet juste avant ma course. Je n’en avais pas d’autre évidemment. J’ai donc du nager 400m sans bonnet, juste avec les lunettes et mes cheveux qui me gênaient quand je respirais. Je crois que c’est le pire 400m NL de toute ma vie !
Grégory Mallet : Tout petit j’ai commencé à collectionner les bonnets de bain (à l’effigie des clubs, de la nation, etc). Lors de chaque compétition je les mettais tous dans mon sac de piscine. J’étais persuadé que si je ne les avais pas, j’allais mal nager ! J’en ai eu jusqu’à 30 voire 50 dans mon sac ! (je sais, j’étais fou). Rassurez-vous voilà quelques années que je ne pratique plus ce rituel superstitieux.
Mylène Lazare : J’utilise régulièrement de l’après-shampoing… Ce qui fait systématiquement glisser mon bonnet à l’entraînement. Je me suis déjà retrouvée à l’arrivée d’un 800 mètres sans bonnet, mes cheveux n’importe comment, ce qui a provoqué les rires de mes partenaires d’entraînement !
Alain Bernard : Jusqu’à ce qu’Arena me trouve un bonnet à ma taille (j’ai une petite tête), j’ai toujours été obligé de les retrousser car ils étaient trop grands.