« Sans données on n’est qu’une opinion parmi d’autres ». Voilà ce qui se passait dans la tête de notre personnage alors qu’il s’accrochait à la ligne du couloir de natation sur le côté du bassin, tel un boxeur dans les cordes, essayant d’utiliser la petite quantité d’oxygène qu’il avait laissée dans ses poumons pour se souvenir d’un ou de deux nombres…
Mais revenons au début de l’histoire, parce que ce sera à vous d’en écrire la fin.
Lundi, je commence la natation. Sérieusement.
Voici une de ces histoires familières, sur une personne parmi tant d’autres, qui cesse de se servir de son « style de vie effréné » comme excuse, et qui appelle par son nom ce qui l’avait jusqu’à présent vraiment empêché d’aller nager régulièrement : la paresse.
Après avoir identifié l’ennemi, le battre a été la partie la plus facile : un billet pour 15 entrées à la piscine et, histoire de se sentir plus en confiance, un kit de natation pseudo-professionnel composé de deux nouveaux maillots de bain, d’une paire de lunettes neuve, pour avoir l’air d’un « dur » aux yeux des autres nageurs utilisant le même couloir et d’un bonnet de bain en silicone souple, et le voici prêt.
Porter le bon ensemble est vital pour avoir l’air à l’aise dans le bassin, genre : les gars, je ne suis pas là pour « avaler vos bulles ». Mais bien entendu, c’est exactement ça qui se produisit.
Les quatre premières semaines furent extrêmement difficiles pour notre personnage, qui a été forcé de faire retravailler toutes les parties rouillées de son corps. Mais lorsqu’au bout de quelques mois il réussit finalement à gagner un peu d’endurance, et s’en tirer plutôt bien dans l’eau, il commença à profiter de tous les avantages miraculeux de la natation : ses douleurs de dos disparaissaient progressivement, sa respiration devenait plus profonde, ses allergies n’étaient plus aussi mauvaises, il dormait plus profondément et la couche de graisse qu’il avait accumulée au cours des derniers hivers fondait peu à peu.
Au fur et à mesure qu’il s’habituait à son nouveau bien-être, il en voulut encore plus. Et ainsi, tel Eddie Morra dans Limitless, notre homme partit à la recherche de NZT-48 et a commencé à s’informer sur la meilleure façon de s’améliorer, de nager mieux et plus longtemps.
Le problème
Ses recherches frénétiques se sont soudain heurtées à un obstacle : bien que les entrainements que notre homme avait prévu de suivre étaient simples, il devait malgré tout tenir un décompte du nombre de longueurs, de styles de nage et même des mouvements de bras. Et, plus important encore, il devait garder une trace de sa progression semaine par semaine. Trop compliqué pour quelqu’un de distrait comme notre personnage, qui oubliait une fois sur trois de prendre ses sandales pour la douche…
La vitesse à laquelle il avait commencé à se sentir en forme après seulement quatre semaines lui avait procuré un faux sentiment de progression rapide, car depuis lors il luttait pour afficher un quelconque progrès, ou pour le moins, un quelconque progrès notable. Ainsi, l’excitation que notre homme avait ressentie en se sentant mieux se transformait peu à peu en routine ennuyeuse : « juste pour garder la forme».
Mais ce n’était que l’opinion d’un nageur amateur sans endurance, qui pouvait à peine à sentir qu’il avait progressé, alors qu’il se tenait là, accroché à la ligne.
La solution ?
Ayant toujours eu le sens de la technologie, c’est inévitablement vers la technologie qu’il s’est tourné pour trouver la réponse. Il a donc commencé à fouiller sur Internet, à la recherche d’une technologie qui permettait de mesurer la quantité et la qualité de ses efforts de natation.
Après tout, de nos jours aucun coureur respectable ne se passerait d’un tracker d’activité, c’est à dire d’un dispositif qui enregistre chaque paramètre utile pour suivre et améliorer ses performances.
Malheureusement, le choix d’un tracker d’activité dans le monde de la natation semble être encore plus compliqué, il est facile de se perdre entre les « dispositifs étanches» et les « dispositifs conçus pour le suivi de votre activité de natation ».
Ce dont nous avons besoin ici ce sont les vrais experts : vous.
Il vous appartiendra en effet d’écrire la fin de cette histoire, d’aider notre personnage (qui, comme vous l’aurez déjà deviné, n’est autre que l’auteur de cet article) à chercher et à faire le bon choix — lequel sera révélé dans notre prochain article.
Alors avez-vous vraiment besoin d’un tracker d’activité pour la natation ?
Lequel utilisez-vous et lequel est le meilleur ?
Rédigez vos commentaires ci-dessous ou écrivez directement à f.antoniello@arenawaterinstinct.com !